GAEC QUAYREL, à Mercoeur (43)
« Les 108 vaches laitières ont produit sur l’exercice 2003-2004 426 557 litres de lait. Ce nombre élevé d’animaux est permis par le fait qu’une partie des animaux est dehors toute l’année et qu’il n’y a donc pas de contrainte de places dans le bâtiment. Ce fonctionnement permet d’alléger les charges fixes (moins de frais sur les bâtiments et le matériel) et de réduire le temps de travail. La race Tarentaise permet une conduite du troupeau simple. Les parcelles sont assez éloignées : la race est appréciée pour son aptitude à la marche. »
Quelques points forts économiques de l’exploitation :
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Christian BLANC, à Arvieux (05)
« Les charges fixes sont faibles car je possède un matériel en bon état, sur lequel j’ai peu de frais. Le bâtiment, qui a 25 ans, est fonctionnel pour les laitières. Les frais vétérinaires sont peu élevés (27 euros par VL, 14 euros par T de lait), grâce à la rusticité de la race. Seulement 1 ou 2 interventions par an pour les délivrances et le reste concerne la prophylaxie. L’exploitation est située à 1600m. La rusticité de la race est alors importante : la Tarine vieillit mieux que d’autres races dans ces conditions d’élevage. »
Quelques points forts économiques de l’exploitation :
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(Chiffres 2003)
Besson Jean Luc, à Entremont le Vieux (73, Chartreuse)
« Une bonne production laitière, obtenue avec des animaux soignés (herbe et foin à volonté).
La rusticité de la race (facilité de vêlage, bons sabots) permet de limiter les frais vétérinaires (13 euros / T de lait).
J’ai du fourrage à volonté, avec un système extensif. Le parcellaire regroupé limite les frais (pneus…) et le temps de travail.
Tous ces éléments permettent un prélèvement privé intéressant. »
Quelques points forts économiques de l’exploitation :
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Chiffres 2002-2003
GAEC des Abattus à Nozières (07)
« La rusticité de la race Tarentaise permet des frais vétérinaires très faibles (18 euros par tonne de lait en 2002-2003) : pas de problème de pieds, d’arthrite, de boiterie, malgré une marche d’environ 4 Km par jour en montée et en descente.
Avec ces contraintes, une production laitière intéressante : 4731 Kg de lait à 33.3 de TP et 35.9 de TB.